“Black Rabbit”, Jude Law et Jason Bateman forment un duo plein d’étincelles

Un propriétaire de restaurant à succès voit ses plans bouleversés par le retour de son frère à New York, endetté auprès de personnes peu fréquentables. “Black Rabbit”, sortie le 18 septembre sur Netflix, n’est pas sans défauts mais montre une rare alchimie entre Jude Law et Jason Bateman dans les rôles principaux, salue la presse américaine.
À plusieurs reprises, Jake fait part de sa fatigue et de son envie de ne plus avoir à faire la fermeture de son restaurant toutes les nuits. Et le retour de son frère Vince à New York le prive du peu de repos qu’il trouve. Ils sont les deux protagonistes de Black Rabbit, sorti sur Netflix le 18 septembre. Et si la série vaut le détour, estime The Boston Globle, “c’est largement grâce à l’alchimie entre les deux acteurs. Jason Bateman prête ses expressions obséquieuses à Vince, une ordure finie, tandis que Jude Law insuffle à Jake une arrogance tout en suffisance, qui échoue pourtant à décourager les poursuivant lancés à ses trousses.” Quoi qu’il pense de lui-même, Jake est loin d’être moralement irréprochable.
Le récit, qui fait des allers-retours fréquents dans le temps, montre les ambitions de Jake d’ouvrir une nouvelle adresse gastronomique. Il est le copropriétaire du Black Rabbit, qui donne son nom à la série, mais pas le chef – ce rôle est dévolu à une star des fourneaux : Roxie (Amaka Okafor). Difficile de ne pas penser à The Bear, vu le cadre culinaire, souligne le Los Angeles Times, mais les différences entre les deux œuvres sont néanmoins nombreuses. “Le restaurant, qui dispose d’un étage VIP pour des clients aussi riches qu’abjects, est un succès vu la foule et le vac
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